opinionMinoritaire

Mon bon ami cher lecteur, j'ai finalement commencé la lecture d'un article sur le-veilleur.com qui a priori ne m'est pas vraiment destiné puisqu'il titre sur le tampon tampax.

Et bien après quelques lignes, je me fais fort de vous le dire, faites-y un tour ça ne manque pas de piquer les yeux. Et le rose, c'est de saison

Si j'en crois le compteur de visites sur ce blog au non si doux, il est de moins en moins probable que cette affaire d'élections européennes se passe tranquille. Le spectacle des canons à eau (apparemment pas trop puissants) sur debout les belges, qui du coup ont pu rester debout, lorsqu'il est mis en balance avec ce qui s'applique aux populations à peine moins à l'ouest du côté de l'Ukraine, c'est un peu tragique. Je n'arrive pas à croire qu'un vote europhobe sera entendu et portera la France à s'arrêter au stand pour panser ses blessures et faire un brin de convalescence.

Vivement les turcs en libre circulation et Hollande cette fois-ci bien élu !!

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un extrait, et une chtite blagounette :

SC : Le rapport des Nations Unies sur les retombées radioactives de Fukushima affirme qu’il n’y a eu aucun décès lié à la radioactivité, et qu »aucune maladie aiguë n’a été observée chez les travailleurs ou le grand public exposés. Ce n’est donc pas si dangereux, après tout? Ou bien, est-ce qu’il n’y a pas suffisamment d’informations pour faire une évaluation correcte? Qu’en pensez-vous ?
KI : Ce rapport est complètement inexact. Le rapport a été écrit par un représentant du Japon, le Professeur Hayano. Représentant le Japon, il a menti au monde entier. Lorsque j’étais maire, j’ai appris que beaucoup de gens sont morts d’une crise cardiaque ; et ensuite, il y a eu beaucoup de gens à Fukushima qui sont morts subitement, même des jeunes. C’est une véritable honte que les autorités cachent la vérité au monde entier, et à l’ONU. Nous devons admettre qu’effectivement beaucoup de gens sont en train de mourir. Nous ne sommes pas autorisés à le dire, mais les employés de TEPCO aussi sont en train de mourir. Mais ils gardent le silence.

SC : Avez-vous une estimation des victimes ?
KI : Aujourd’hui, je n’ai pas les chiffres sur moi.