Alors comme ça le système va avoir ma peau ? Non, je ne crois pas, enfin çà dépend.
Si nous sommes prêts à troquer un peu de liberté contre un peu de sécurité nous ne méritons ni l'un ni l'autre. Oulala, ce ne peut être vrai à tous les niveaux qu'on se place.
Mais enfin ça sonne un peu comme une clé de lecture des temps qui courrent. Il semble pourtant évident que nous avons donc ce que nous méritons et la magie des générations se reproduisant dans leur modèle fait que nous pourrions nous offusquer très honnêtement de ce que nous n'avions pas voie au chapitre quand les choix mortifères furent pris.
Complot, pas complot, drôle, pas drôle... Ah çà quand on aime rire en ce moment j'ai bien cherché y'a bien que la quenelle. Ou alors c'est parce que je me tiens trop au courant. Calme-toi, respire un peu d'ozone petit citoyen, un pti bulletin et hop ! Chaud devant la voix du peuple ; j'ai un peu de mal à envisager la moindre inflection, qui veut s'en convaincre avec moi consulte news 360°
Enfin si j'ai senti bouger vraiment, juste à l'instant, un simple texte, un commentaire, en Ratant +1(forcément je débute en informatique) .
Puisqu'on en revient au corps, sa couleur, ses signes distinctifs, c'est vrai que c'est pratique le genre c'est donc à l'individu de prendre les armes et tous ensembleuh trois fois... le salut est dans le sillon. Ca au moins faut bien voir (ou croire) que ça n'a pas changé.
Des millions de gens trouvant cause commune, ennemi commun pour redresser une situation à bien lire la réacosphère qui se dessine comme l'euthanasie des patriotes gaulois, comme en son temps l'éradication soft des indiens par la bière et la civilisation cette fois-ci venue de la mer, quelque part dans le pacifique sud depuis des rivages surpeuplés.
Ce commentaire donc propose de constater que la gauche a substitué la lutte des classes par la lutte des races ; quelque temps plus tôt j'ai lu que nous étions dans un système qui organise la lutte des places.
Né au moment de ce qu'on m'a dit être l'année du premier choc pétrolier, mais aussi l'année où la ceinture de sécurité est devenue obligatoire, l'arme dont je dispose, la seule l'unique c'est l'interface avec le Net. Et comme on en revient au corps j'ai la chance de l'avoir dans un endroit du monde qui à l'instar de bien d'autres lui donne de quoi s'épanouir naturellement ; la civilisation moderneuh est bien là mais la mer et ses éléments aussi, toute proche, toute autour.
A moi mais éventuellement à d'autres aussi elle montre la vanité et la vacuité de cette surenchère de flicage et d'information entourant l'humain. A Tahiti quand on a la chance d'avoir un soutien financier dans l'adversité impécunieuse le corps a tout encore à sa portée pour se réaliser homme et son environnement naturel. S'il y a une universalité et une permanence, ainsi qu'un fond de vérité dans l'histoire de que j'ai retenue aller me nourrir en piochant dans un magasin est un comportement nouveau et source de bien de maux... Je vis dans un endroit où cela se voit très très bien grâce au départ à l'océan.
En parlant d'océan et de nouveauté, Internet a donc inventé la fumée sans feu, la révolution en ce qu'elle serait un soulèvement de l'autre siècle est maintenant pleinement dans son acception physique, ça tourne... et plutôt bien d'un certain point de vue.
Mais que voilà les échéances électrroales, puis l'été pour se reposer et enfin Noël, pour se récompenser.
Fais-je du militantisme passif pour la cause humaine en parcourant les infos, les opinions, que met à ma disposition Internet ? N'est-ce pas bien évidemment perdre son temps que de le faire si on considère tout ce que je pourrais trouver comme autre occupation, à vivre plus réellement mon petit pré carré ? Qui peut s'étonner du peu de recherches au-delà de la page 1 du moteur, et de l'acharnement qu'il faut produire pour compiler à l'ancienne des monceaux de Data, qui comme tout par surcroît s'en vont croissants.
Mon bon ami cher lecteur, on en revient toujours au corps, et au contrôle.
Ce commentaire vivifiant qui m'a plu, cette perle rare, mais peut-être pas,... elle est bien la première de cette sorte sur mon parcours d'intérêt politique en tous cas; j'ai bien envie de vous le faire lire.
Et pour donner un élément de contexte pertinent je dois avant vous dire que j'ai découvert un endroit où deux commentateurs se citent entre guillemets et se rétorquent à longueurs de colonnes ; et vous savez comme moi qu'elles peuvent être longues sur un écran ! Carine et Robert, pour parler de race je croquerais le duo en disant la fonctionnaire catho et le retraité suisse. Assez instructif dans l'ensemble mais voilà qu'à peine arrivé je lis que Carine méprise Robert parce qu'il la méprise et puis qu'elle lui parle plus, et puis ? Et puis ça continue parce que bon là c'est pas possible de pas répondre, etc.
C'est que chez nous les ptits moutons de la communauté internationale on va bientôt voter et à en croire internet eh ben il prend des libertés avec sa sécurité l'e-citoyen, si si.
La gauche, en substituant la figure de l’ouvrier par celle de l’immigré a remplacé la lutte des classes par la lutte des races.
Au delà du logiciel économique et sociétal, c’est avant tout pour cette saloperie et cette trahison que cette gauche doit être combattue.
Si l’on part du principe que la démographie allogène et la substitution de peuple que nous subissons revêt, à terme, un caractère irréversible, nous conviendrons pour dire que notre priorité politique est de lutter contre cela.
Si nous affirmons clairement notre refus de devenir l’islam et l’Afrique, alors ce combat d’ordre civilisationnel peut en effet réunir beaucoup de monde (conservateurs, royalistes, libéraux, chrétiens, juifs, laïcs, athées, de droite ou de gauche etc.) bien au delà des clivages que nous constatons aujourd’hui et qui minent notre camp. Je ne vois pas aujourd’hui de question politique plus essentielle, ni à même de fédérer aussi largement.
Voilà donc, pour la question du "contre quoi et avec qui".
Je note cependant chez Robert, que la question des juifs revient de manière obsessionnelle. J’observe, en France, à travers la ligne Finkielkraut, Goldnadel, E.Levy etc. une prise de conscience que nous avons peut-être à faire face à une menace commune. Non seulement je m’en félicite, mais je pense que nous aurions tout à gagner à ce que la majorité de la communauté et des élites juives suivent cette ligne au lieu de chier en permanence sur la tête des patriotes gaulois.
C’est hélas loin d’être le cas, et je le déplore, bien entendu.
Je vous laisse en penser ce que vous voulez, et vous écris à bientôt, au plaisir de vous lire
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