Si j'en crois mes lectures dans cette édition il doit y en avoir pour tout le monde mais surtout pour moi. Ce 4 février n'est rien qu'un mardi et pourtant...
J'ai comme hier tenté l'expérience, les mettre en résonnance avec des conzicitoyens de l'autre côté du globe. Et oui... elle tourne la partagitude et sur quels sujets, quels espoirs, quels cris, quelles infos, quels coûts, etc...
Pour vous offrir du structuré d'infopresse rien de tel qu'un pti reader digest maison de les nouvelles de Tahiti point pfeu.
En manière de vision d'ensemble nous le savons ce n'est pas tant l'info que sa présentation, ce n'est pas tant qu'il faudrait tout lire mais se donner les moyens de capter un max de regards plutôt qu'un max d'attention. Vraiment ? Tout ce qui est exagéré est insignifiant ai-je lu, les journaux ne sont pas là pour capter l'attention, un max même comme c'est des pros ?
Encore que ça dépende des sujets.
Néanmoins pourquoi ne pas persister, c'est si facile.
Il faudra bien enchaîner, recommencer à éditer demain, à couvrir comme ils disent...
Des retours des suites des listes, de la lecture (in)formative quoi
Et ce n'est pas un scoop-it que de lire que rares sont ceux qui s'arrêtent et dont ce n'est pas le métier (je veux bien sûr dire qu'il sont payés pour çà). Le lien qui précède c'est pour un quota, mais il prend son sens ensuite
Le buzz de l'abécédaire sur l'égalité...
Rassurez-vous ou zappez, le journal du paradis n'a pas de souci avec çà, on a nos raerae parfaitement intégrés, de ça le journal vous en touche deux mots et c'est tant mieux, c'est l'occasion d'enchaîner ; ah s'ils pouvaient le dire comme çà. Notez tout de même qu'on en a plusieurs mais qu'on met pas de s. Strictement rien à voir avec une avance sur la progression indistinction du genre, puis du nombre. On est plein d'humains pour encore un paquet d'années, mais dans quel é(E)tat ? Je le demande comme je vois souvent la question...
l'instruction a révélé qu'Arihano Haiti avait eu des relations sexuelles avec des raerae de Nuku Hiva, mais également qu'il lui arrivait d'avoir des penchants violents et agressifs.
Rien à voir et ainsi donc vous avez en première page un excellent billet de Caroline Perdrix. J'espère qu'elle me pardonne cette publicité quasi invisible mais quant à lire des choses magnifiques autant ne pas tenter de les réécrire, je vous livre la fin d'une info : le président n'a pas présenté ses voeux aux fonctionnaires, il les a grave pourris...
D'autant plus à l'aise que ça commence par des guillemets :
"je suis exigeant envers vous comme je le suis envers mes ministres, ils ne le savent que trop", l'ironie masquant à peine la colère. Tel l'adolescent qui ne reconnaît guère dans un père sévère et blessant le papa qui l'a formé, gâté et protégé toute son enfance, le fonctionnaire polynésien doit s'ajuster à la réalité.
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